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carburant décarboné

octobre 2022

Le fonds Hy24 a réuni 2 milliards d’euros auprès de très grandes entreprises et banques, dont TotalEnergies, Axa, Airbus ou encore la Société générale, pour financer des projets autour du carburant décarboné. Signe d’un engouement croissant pour ses promesses d’énergie “propre”.

juin 2021

Le bénéfice des innovations technologiques en termes de bilan carbone de l'aviation est totalement hypothétique. Compte tenu de l'urgence climatique, le secteur aérien ne peut prétendre échapper à une décroissance maîtrisée. Vouloir maintenir les perspectives actuelles de croissance du secteur aérien équivaut à jouer l'avenir de nos enfants à la roulette russe.

avril 2021

mars 2021

février 2021

Difficile, en Belgique, de parler du plan de relance sans qu’on vous cite l’exemple de l’hydrogène. Le sujet est à la mode, il a les faveurs de l’Europe et il permet de mettre en avant la dimension interfédérale de ce plan de relance. Fédéral, Wallonie et Flandre ont en effet déposé des projets en la matière. Seule la Région bruxelloise s’est abstenue. Et pour ne rien gâcher, un certain nombre d’entreprises belges sont déjà bien positionnées dans ce domaine, comme John Cockerill, qui s’est associé à un fabricant chinois d'électrolyseurs.
L'hydrogène est aujourd'hui présenté comme une solution aux enjeux écologiques, celui-ci n'émettant pas de dioxyde de carbone lors de sa combustion. L'hydrogène est dit "propre" lorsqu'il est produit par une électrolyse alimentée par des énergies renouvelables (hydrogène "vert") ou lorsque sa production est combinée à des mesures limitant les émissions de carbone (hydrogène "bleu"). Il s'oppose ainsi à l'hydrogène dit "gris" qui est produit à base de combustibles fossiles qui génèrent du dioxyde de carbone. L'hydrogène propre réduit donc les émissions de CO2, tant lors de sa production que lors de son utilisation.
ENQUÊTE 3/3 — L’ambition d’un développement massif de la production hydrogène à grand renfort d’argent public fait peser de nombreux risques sur l’environnement, qu’il s’agisse de transport, de délocalisation de la production dans des pays pauvres ou encore du fantasme du stockage du carbone.
ENQUÊTE 2/3 — Produire toujours plus d’hydrogène « vert », comme le prévoient le « plan » français et la « stratégie » européenne, va nécessiter de grandes quantités d’électricité non fossile. L’industrie nucléaire est sur les rails.
ENQUÊTE 1/3 — Les plans de relance gouvernemental et européen font la part belle à l’hydrogène, qui serait l’énergie « verte » de l’avenir. Pourtant, la production de ce gaz pose de nombreux défis écologiques et l’enjeu de cette conversion paraît davantage économique que climatique.

décembre 2020